Fin du flintlock 2019 : une participation de plus de 2 000 militaires face aux actes terroristes

La cérémonie de clôture de l’exercice militaire multinational flintlock a eu lieu,  le vendredi 1er mars 2019,  au camp général Bila Zagré de Ouagadougou présidée par le président burkinabé, Roch Marc Christian Kaboré et en présence de plusieurs autorités de la localité.

Durant 2 semaines, les participants ont travaillé sans relâche dans le but de renforcer les compétences en théorie et en pratique pour partager des expériences tactiques entre les unités des pays participants. Cela  en s’appuyant sur des scénarios aussi proches que possible  de nos réalités actuelles qui sont les menaces terroristes.Plus de 2 000 militaires des forces spéciales venants de 31 pays partenaires africains et occidentaux ont pris part à cet exercice anti-terroriste.

Il s’agit du Burkina, du Mali,  du Cameroun, du Tchad, du Cap  Vert,  du Ghana,  de la  Mauritanie, du Niger, du Nigeria,  du Maroc, du Sénégal, de la Guinée Bissau, de la Tunisie, de la Guinée Conakry, du Benin et comme partenaires Occidentaux, on peut citer les Pays-Bas, le Danemark, l’Espagne, la Norvège, la Belgique, l’Italie, la France, la Pologne, la Grande Bretagne, l’Autriche, le Portugal, la République Tchèque et les Etats-Unis d’Amérique.Le ministre de la Défense et des Anciens Combattants du Burkina, Chérif Sy, a rappelé une fois de plus que le flintlock 2019 a été consacré au renforcement des capacités opérationnelles des unités des forces spéciales des pays participants, en vue d’apporter une réponse efficace dans la lutte contre le terrorisme sous toutes ses formes.

C’est un exercice militaire multinational organisé annuellement sur le continent africain depuis 2005, par le commandement des USA pour l’Afrique (AFRICOM).

Fama

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